heu j'en ai 2 pricipal mais elle sont loin d'etre fini ...
sinon j'n ai une ecrit pour un evant du jeu flyff (c pas si tu conait v_v)
mais bon elle et pas super du au contrainte (peu de ligne max ^^') et l'histoir et assez banal sur le theme de la piraterie ...
a vous de jugée
Une amitié à toutes épreuves
Bien le bonjour Eustache, à votre appel je viens vous raconter mon histoire…
Tout commença peu de temps après la fin de mon apprentissage d’Acolyte alors que j’embarquais alors sur le navire de Vellamo (déesse de l’eau), la farouche capitaine pirate, j’avais alors un niveau assez faible (j’étais au niveau 24) mes sort de soin d’un assez bon niveau m’avais tout de même permit d’être engagée.
Après notre départ de Flaris, nous partîmes sur les eaux calmes de Madrigal, en quête de gloire et de Penya.
À bord de l’Urulóki (serpent de feu), je pris mon poste de mousse au sérieux en allant briquer le pont avant, tout en essayant de mémoriser les vissages et nom de mes nouveaux compagnons, ce qui devrai me permettre de me rendre utile au sein de cette communauté …. Enfin je l’espère. Pendant que mon travail une jeune Assassine était venue me mettre au courent des plans en cas d’abordage d’un navire …. Ce qui nous permit de faire connaissance et de devenirs amies. J’appris alors qu’elle se nommée Anaïs et qu’elle venait juste d’être promu au rang d’assassine et qu’elle avait embarquée sur se navire pour acquérir assez de réputation et d’expérience pour former sa propre guide. C’est ainsi que je lui appris que j’espérais devenir une prêtresse pour venir en aide à mes compagnons.
Au fils de notre discussion un orage commença à gronder lorsqu’enfin on entendit le Gabier :
- Navire a Tribord …. Darkonien vu d’ici.
- Paré à l’abordage … on suit le plan.
A cette annonce tout l’équipage c’est préparé au combat : les Assassins en protection du Sorcier et des Acolytes, ces dernier positionner en arrière avec les Mercenaires et Chevaliers en première ligne.
Apres avoir laissé notre Prêtre buffer nos compagnons il dut se reposer pour recharger ses MP …. Se qui ne laissa que trois Acolytes moi comprise.
Et bien que nous n’ayons eu aucun mal à rattraper notre proie grâce au sort « Satanologie » de notre Sorcier.
Je commencé à paniquer car nous étions fortement en infériorité numérique …. Malgré sa la présence d’Anaïs à mes coté pour nous protéger fut un grand soulagement. L’autre point positif était l’absence de mage du coté de notre ennemis. Nos Chevaliers soutenue par les Mercenaires retenaient la majorité des forces ennemies pendant que les Jesters et les Rangers les éliminer. Les quelques survivants qui arriver devant nous (les Acolytes, le Sorcier et le Prêtre) furent tuer par Anaïs et les cinq autres Assassins.
Pendant ces combats moi et les autres Acolytes soignons les combattants pour ne pas subir de perte. Et toute en suivent cette stratégie inventée par notre capitaine nous nous somme rendue compte que le capitaine ennemie tenter de changer de tactique pour nous submerger … pourtant les stratégies et la capacité d’adaptation de notre capitaine nous a permis de surpassé toute les difficultés au point que le capitaine adverse admit sa défaite et se rendit.
- Que les Mercenaires ramassent leurs armes et toutes les munitions pendant que les Assassins les surveillent …. Que les Acolytes et les Chevaliers fouillent le galion de la proue a la poupe et se jusqu’a fond de cale …. Ramenez moi tous se qui a de la valeur et ce jusqu'au moindre penya.
- Bien Capitaine.
Une fois le pillage fini, nous avons levé l’ancre vers d’autres horizons plus propice à nos aventures quelque peu illégales. Mais à peine notre victime hors de notre champs de vision, notre Timonier (marin qui tien la barre) nous annonça que l’orage qui avais commencé à gronder au début du combat c’était transformé en une gigantesque tempête qui arriver dans notre direction. Notre seule chance de l’éviter ne pouvait être que le sort « Bourrasque » de notre sorcier, malgré les traces du précédent combat et sachant que c’était pour le bien de tous, il prit son arme et lança avec fureur le sort tant convoité. Malgré cela l’intensité de son sort n’étant pas assez importante nous ne pûmes distancer le cataclysme …. L’avenir se voyait en heures difficiles. Les préparatifs pour faire face à cet événement climatique furent effectués : la cargaison amarrée fut vérifié, les voiles cargués et les membres d’équipage encordé aux mats.
- Que tout le monde vérifie qu’il est sécurisé car si vous tomber de l’Urulóki, personne ne pourra vous repêcher, pas même le Diable, …. Bonne chance a tous et que Dieu veille sur vous.
Plus notre ennemie naturelle se rapprochée de plus le dénivelé des vagues et la force du vent augmentaient au point d’être critique, le terrifiant tangage du navire nous balloté comme des fétus de pailles face à une volonté toute puissante que rien ne pouvait arrêter, celle de Calypso peu être ….
Des vagues aussi grandes qu’une tour balayaient le pont avec force avant de s’écouler par les dalots. Les hommes se convulsaient tel des poissons échoués, suffocants et recrachant l’eau qui tentait de les noyer. Bon nombres de cordage se rompirent, entrainent hommes et femme dans des cercueils liquide d’une mer affamé. Le déluge céleste engloutissait le bateau sous des tonnes d’eau, avant que la mer déchainé ne le rejet avec force, remplissant d’effroi le cœur des membres d’équipages. Les rafales de vent couronné d’éclair descendant jusqu’au abime les plus profondes des océans ne permettait aucun espoir de sans sortir vivant ….
C’est alors que j’entendis la capitaine toujours à sont poste, malgré les dangers, à donner les seuls ordres prouvent encore sauver le bateau et ce qu’il rester de sont équipage.
- vous autre assuré vous que les panneaux de la cale sont bien fermés et occuper vous aussi des pompes je sens le bateau s’enfoncer plus qu’a la normal …. Combien d’eau nous avons embarqué seul Dieu le sait.
Pendant que tous essayaient de sauver le navire, je tentais de sauver le plus de monde possible en attachent les corps aux mats via des cordages, je pensais que l’on pourra les ressusciter une fois cette terrible tempête traversé …. Tous ceci aurait du se passer mais pendant que j’allais chercher le corps d’une Assassine que je reconnusse être Anaïs, mon propre cordage se rompit …. C’est ainsi que je commençai ma longue chute vers les ténèbres d’une mort certaine sans aucune résurrection possible. Pour ne pas voir ma propre mort je fermais les yeux …. Et je me suis mit à compter le temps qu’il me restait… 1 … 2 … 3 … 4 … 5 … 6 … et au fils des secondes un étrange malaise s’installer me force a ré ouvrir mes paupières et à regarder mon destin en face.
Mais à se moment une poulie m’assomma et me plongea dans le néant de l’inconscience.
A mon réveil je me rendis compte que mon cordage m’avait finalement sauvé la vie en s’attachant à un canot de sauvetage …. Mais il m’avait fait dériver jusqu'à une ile inconnue qui au vu de notre dernier position pourrait être l’Ile Corail.
Ne me laissent pas décourager je me suis mit à arpenter les cotes de cette ile tout en espèrent trouver d’autres survivants dont j’espérai que mon amie Anaïs en ferait partie …. Mais je devais faire très attention car n’étant pas de haut niveau les monstres de cette ile risquent de m’être fatals.
Tout en explorent avec prudence les alentours je découvris de nombreux débits qui avait de forte chance de provenir de l’Urulóki …. En continuent dans cette voie j’espère retrouver des rescapés. Et de fait, j’ai découvert le corps de mon amie Anaïs que j’avais essayé de sauver sans pour autant y parvenir.
Malheureusement elle était entourée d’ennemies, que je savais que je ne pourrai les vaincre seule. Pourtant, prenant mon courage à deux mains je me fis la promesse de tout faire pour lui venir en aide. En m’approchent discrètement je pu dénombrer dix ennemies dont certain plus distant que les autres …. Je me suis donc équipé de mon poing twit et mon bouclier étincelle et j’ai surtout fait une forte provision de nourriture pour régénéré mes HP. Pour avoirs une petite chance de m’en sortir j’ai commencé à me rapprocher de celui qui c’était le plus isolé de la bande pour l’attirer dans le sous-bois ou je pourrai le tuer …. Ou pour être tuée en toute tranquillité.
En utilisant « Frappe martiale » je pus survivre à cette affrontement et donc, après avoir récupère mes HP et FP, j’utilisai la même technique pour en éliminer deux autres avant de me retrouver sans assez de nourritures, pour tenter de m’attaquer aux sept autres même si ils étaient de toute façon bien trop proche pour cette stratégie …. Et pourtant j’étais bien décidée à tenir ma promesse de tout tenter pour sauver Anaïs et ce même si j’avais de grande chance de ne pas y survivre.
Mais avant que je me décide à y allez un événement imprévu arriva …. Les quelques membres de l’équipage ayant survécue (dont la capitaine Vellamo) arrivèrent, attirés par le bruit des combats que j’avais menée. Ce revirement de situation me permit de ressusciter mon amie.
Apres ces retrouvaille quelque peu mouvementée, notre capitaine m’appris que sur les cinquante membres d’équipage seulement trente cinq avaient survécu. Malgré cela il y eu quand même la bonne nouvelle, en effet le bâtiment n’avais pas trop était trop endommagé et que nous pouvions rentrer sur des terres plus hospitalières. Grace à notre capitaine, à sa maitrise de l’Urulóki et ses compétences en navigation notre retour à Flaris se déroula sans le moindre problème.
Depuis cette événement je ne participe au aventure du capitaine Vellamo et de son équipage que par les récits de ma meilleure amie Anaïs, préfèrent pour ma part poursuivre ma voie pour pouvoir devenir assez forte et ainsi l’assister dans ces aventures.